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58 articles taggés XIXème siècle

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Les Misérables, Victor Hugo

Les Misérables, Victor Hugo Fantine, jeune mère célibataire, sans ressources, abandonnée par son amant alors qu'elle était enceinte, doit subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille, Cosette ; elle la confie donc à un couple d'aubergistes peu scrupuleux, les Thénardier. Jean Valjean, ancien forçat, endurci par un sort peu favorable, decide de recouvrer sa dignité et commence à aider Fantine, qu'il rencontre par hasard dans son usine. Malgré le faux nom qu'il utilise, M.Madeleine, alias Jean Valjean, est reconnu par Javert, un policier, et retourne au bagne. Il réussit néanmoins à fuir à nouveau dans l'unique but de sauver et de s'occuper de Cosette, malgré les obstacles... Victor Hugo signe ici la plus grande épopée française populaire, avec comme toile de fond Paris, ses quartiers et son histoire !

Tomes :
1. Fantine
2. Cosette
3. L'idylle Rue Plumet
4. L'épopée Rue Saint-Denis
5. Jean Valjean

"Les révolutions sortent, non d'un accident, mais de la nécessité."

Ma note : ★★★★★★★★★★



Mon avis :

Les Misérables sont de merveilleux classiques que j'ai découvert par hasard dans une vieille bibliothèque familiale. C'était une vieille édition de 1947, un peu jaunie et cornée, mais peu importe ! Je me suis plongée dans les pages des quatre volumes et, en quatre semaines, j'avais terminé la lecture de ces livres...Aujourd'hui, Les Misérables sont les romans que je cite en premier à la question : « quel  est votre livre préféré ? ».
J'ai aimé beaucoup d'autres romans, j'ai d'ailleurs du mal à départager tous mes coups de coeur, mais ceux-là ont un statut bien particulier pour moi.
L'histoire est émouvante et belle malgré la violence qui reste latente durant toute l'intrigue. On ne peut s'empêcher de compatir pour Fantine, qui tombe dans le plus grand dénuement après que son amant l'ait abandonné, on ne peut que ressentir de l'antipathie pour Javert, mais on se sent finalement proche de lui lorsque la roue tourne et que c'est à son tour de connaître le malheur.
Malgré ses actes condamnables Jean Valjean est un personnage attachant et Cosette également. On se réjouit de la voir, à l'adolescence, s'ouvrir enfin au bonheur dans les bras de Marius.
Les Misérables insèrent également, dans la petite histoire de ses héros, la Grande Histoire : ainsi Thénardier se trouve pris dans la tourmente de Waterloo et Marius dans les barricades de la Révolution de 1832.
Comme les romans de Zola, Les Misérables sont un formidable tableau de la société du début du XIXème siècle, finalement assez proche de nous mais tellement éloignée néanmoins à cause de cette misère et de cet archaïsme qui perdure.


En Bref :
Les + : les quatre romans sont des chef-d'oeuvre. 
Les - : R.A.S. Une saga romanesque parfaite.  
 
 

 
 
 Les Misérables, Victor Hugo
 
Tags : Classiques, XIXème siècle, Saga romanesque
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#Posté le samedi 09 janvier 2010 10:32

Modifié le jeudi 12 juillet 2012 12:56

Germinal, Emile Zola

Germinal, Emile Zola Une des grandes grèves du siècle dernier racontée par un journaliste de génie qui en a fait un réquisitoire, un formidable " J'accuse " contre le capital, le roman de la lutte des classes et de la misère ouvrière. Un livre de nuit, de violence et de sang, mais qui débouche sur l'espoir d'un monde nouveau lorsque le héros, Etienne Lantier, quittant la mine " en soldat raisonneur de la révolution ", sent naître autour de lui une " armée noire, vengeresse... dont la germination allait bientôt faire éclater la terre ". Germinal marque l'éveil du monde du travail à la conscience de ses droits et c'est au cri sans cesse repris de " Germinal ! Germinal ! " que la délégation des mineurs de Denain accompagna le convoi funèbre de Zola à travers les rues de Paris.

"Des hommes poussaient, une armée noire, vengeresse, qui germait lentement dans les sillons, grandissant pour les récoltes du siècle futur, et dont la germination allait faire bientôt éclater la terre."


Ma note : ★★★★★★★★★★
 
Mon avis :

Que dire de ce roman à part qu'il fut pour moi un de mes plus grands chocs littéraires ?
Dans Germinal, nous faisons connaissance avec l'un des fils de Gervaise Macquart, l'héroïne de L'Assommoir. De son amant Lantier, elle a eu trois fils : Claude, Etienne et Jacques. De son époux, Coupeau, elle a eu la petite Anna, dite Nana, qui sera l'héroïne du roman du même nom. On retrouvera Claude dans L'Oeuvre, Jacques dans La Bête Humaine et Etienne est le héros de Germinal. Renvoyé de son travail après avoir donné une gifle à son patron, Etienne arrive dans le Nord, au pays des mines et des corons. Il y fait la connaissance d'une famille de mineurs, les Maheu, dont tous les membres, ou presque, lorsqu'ils sont en âge de travailler, descendent à la mine. Etienne fait la connaissance de tout un peuple qui vit à l'ombre des deux mines de Montsou, Crèvecoeur et le Voreux. Peu à peu, révolté par les conditions de vie et de travail des mineurs, Etienne va les pousser, aidé en cela par un anarchiste russe, Souvarine, à se révolter contre ce système qui les exploite sans vergogne tandis qu'il se rapproche insensiblement de Catherine, la fille aînée des Maheu...
Germinal, c'est le roman de la révolte mais aussi celui de la misère. Les corons et le travail au fond de la mine sont décrits avec une réalité saisissante, qui nous fait partager au plus près le quotidien de ces gens sacrifiés par les bourgeois exploitants des mines.
Ce roman est magistral, révoltant, mais d'une intensité magnifique. Très bien écrit, il personnifie réellement le génie littéraire de Zola. Le travail de Zola est assez magistral. En bon romancier naturaliste, il s'est attaché à recueillir le plus d'informations possibles sur un monde qui lui était alors totalement inconnu, celui des mines et des mineurs. Pour cela, il est allée à Anzin, dans le Nord, où d'immenses mines étaient exploitées au XIXème siècle et en a ramené de nombreux cahiers qui lui ont permis d'établir la trame de Germinal. On sent tout ce travail préparatoire dans la façon dont l'auteur nous raconte ce monde qui semble complètement à part, si différent de celui des bourgeois exploitants des mines et qui vivent à Montsou comme des pachas. Zola nous immerge totalement dans ce monde noir et sale, où chaque jour, on descend à la mine sans savoir si on en remontera le soir...l'écriture de l'auteur suscite aussi chez le lecteur une empathie certaine qui lui permet de se mettre à la place des personnages et donc, de s'attacher à eux. 
Germinal était mon premier Zola. Ca ne s'oublie pas. :) Et aujourd'hui encore, ce roman reste l'un de mes meilleurs souvenirs littéraires.

En Bref :

Les + : l'écriture magistrale, les personnages très fouillés et à la psychologie très fine, l'intrigue tout simplement. 
Les - : je n'en ai pas trouvé.  






Germinal, Emile Zola




Tags : Emile Zola, Roman industriel, XIXème siècle, Classiques, Rougon-Macquart
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#Posté le samedi 09 janvier 2010 10:35

Modifié le mardi 23 avril 2013 15:49

La Faute de l'Abbé Mouret, Emile Zola

La Faute de l'Abbé Mouret, Emile Zola Serge Mouret est le prêtre d'un village pauvre, quelque part sur les plateaux désolés et brûlés du Midi de la France. Barricadé dans sa petite église, muré dans les certitudes émerveillées de sa foi, assujetti avec ravissement au rituel de sa fonction et aux horaires maniaques que lui impose sa vieille servante, il vit plus en ermite qu'en prêtre. A la suite d'une maladie, suivie d'une amnésie, il découvre dans un grand parc, le Paradou, à la fois l'amour de la femme et la luxuriance du monde. Une seconde naissance, que suivra un nouvel exil loin du jardin d'Eden.


"La peau blanche d'Albine n'était que la blancheur de la peau brune de Serge. Ils passaient lentement, vêtus de soleil ; ils étaient le soleil lui-même. Les fleurs, penchées, les adoraient."


Ma note : ★★★★★★★★★★


Mon avis :

Que dire de ce roman à part ce que c'est peur-être mon livre préféré de tous les temps!!  J'ai adoré l'histoire, j'ai adoré la façon dont elle est racontée. Le cadre est magnifique et le Paradou pourrait bien vite devenir un paradis pour les deux amants et, puis, finalement, ce n'est le cas, puisque c'est un amour contrarié qui est raconté dans La Faute de l'Abbé Mouret. J'ai trouvé l'histoire d'amour merveilleusement racontée, entre innocence, découverte et naïveté.
 Albine est mon héroïne de roman préférée et, à l'instar de Marius (Les Misérables) et François Tavernier (La Bicyclette Bleue), j'ai éprouvé d'emblée une certaine affection pour Serge Mouret, si fragile et instable. La fin me met en rage : on a tellement envie qu'Albine et Serge soient enfin heureux ! J'ai lu le roman deux fois, même la seconde fois, alors que je connaissais l'histoire, j'ai été déçue. ^^
C'est un livre que je recommande vraiment pour ceux qui veulent découvrir l'univers de Zola mais sont effrayés par ses gros pavés comme L'Assommoir ou Germinal, par exemple.

En Bref :
 
Les + : une superbe histoire d'amour, tragique mais bien traitée, de l'émotion et un style magistral
Les - : aucun à mon avis  ;)
 
 
La Faute de l'Abbé Mouret, Emile Zola




Tags : Emile Zola, XIXème siècle, Classiques, Rougon-Macquart
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#Posté le lundi 11 janvier 2010 09:42

Modifié le dimanche 01 juillet 2012 13:06

Madame Bovary, Gustave Flaubert

Madame Bovary, Gustave Flaubert Une jeune femme romanesque qui s'était construit un monde romantiquement rêvé tente d'échapper - dans un vertige grandissant - à l'ennui de sa province, la médiocrité de son mariage et la platitude de sa vie. Mais quand Flaubert publie Madame Bovary en 1857, toute la nouveauté du roman réside dans le contraste entre un art si hautement accompli et la peinture d'un univers si ordinaire. L'écriture transfigure la vie, mais s'y adapte si étroitement qu'elle la fait naître sous nos yeux.
"Ce n'était plus du roman comme l'avaient fait les plus grands" dire Maupassant : "C'était la vie elle-même apparue. On eût dit que les personnages se dressaient sous les yeux en tournant les pages, que les paysages se déroulaient avec leurs tristesses et leur gaieté, leurs odeurs, leur charme, que les objets aussi surgissaient devant le lecteur à mesure que les évoquait une puissance invisible, cachée on ne sait où."


"Emma, dès le vestibule, sentit tomber sur ses épaules, comme un linge humide, le froid du plâtre. "


Ma note : ★★★★★★★★★★

Mon avis : 

J'ai lu Madame Bovary deux fois : une fois pour les cours, en Première et une autre fois pour le plaisir, tellement j'ai aimé cette histoire !
Je me souviendrais toujours que ce roman a été une torture pour pas mal de gens dans ma classe...Et pour moi, absolument pas...! J'ai vraiment aimé... Ça n'a peut-être pas été le coup de coeur du siècle, mais ce classique m'a absolument convaincue. 
Par contre, et c'est une chose rare chez moi, j'ai aimé le livre sans aimer ses principaux protagonistes : Monsieur et Madame Bovary sont antipathiques au possible, je trouve. J'ai détesté Emma ! Quelle petite garce...Oui, n'ayons pas peur des mots...Emma est une vraie garce, une femme avec qui on n'aimerait pas se lier d'amitié. Elle a l'air fausse et n'attire finalement aucune sympathie...A la fin du livre, peut-être, et encore...La jeune fille un peu romantique du début, un peu timide, qui se rêve une vie de roman, devient vite une vraie peste. Mais l'histoire reste vraiment intéressante et le style de Flaubert est assez abordable, comparé à celui de Zola ou Balzac, par exemple. Il a une écriture qui se lit avec plaisir et le récit coule de lui-même. On tourne les pages, on ne peut plus s'arrêter...
Un classique que je conseille...


En Bref : 
 
Les + : une histoire assez particulière qui suscite de l'intérêt. 
Les - : les personnages vraiment détestables, le style de Flaubert un peu déroutant en premier lieu (mais je vous rassure, on s'y fait vite). 






Tags : XIXème siècle, Roman, Classiques
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#Posté le lundi 11 janvier 2010 09:48

Modifié le dimanche 01 juillet 2012 13:09

L'Assommoir, Emile Zola

L'Assommoir, Emile Zola Qu'est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille» de Gervaise Macquart? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd'hui encore? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d'Or version Second Empire?
L'existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s'expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l'intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers "assommoirs" - un accident de travail, l'alcool, les "autres", la faim - ont finalement raison d'elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même.

"Mon idéal, ce serait de travailler tranquille, de manger toujours du pain, d'avoir un trou un peu propre pour dormir, vous savez un lit, une table et deux chaises, pas davantage..."


Ma note : ★★★★★★★★★★
 
Mon avis : 

Ce roman est superbe, c'est...oui, n'ayons pas peur des mots, un grand roman. Je n'oublierais jamais L'Assommoir car c'est le premier Zola que j'ai lu en texte intégral (je n'avais lu qu'une version abrégée de Germinal mais ça ne compte pas). J'ai découvert ce roman grâce à mon prof d'Histoire de Première, qui nous a parlé de ce livre comme étant une bonne illustration de l'alcoolisme qui sévissait alors dans les milieux les plus défavorisé de la société. Je me suis alors dit : tiens, pourquoi ne pas le lire? L'été précédent ma Terminale j'ai lu L'Assommoir et Nana et ensuite, je n'ai plus pu m'arrêter, ma grande histoire avec Zola commençait et elle n'est toujours pas arrêtée.
Avec L'Assommoir, j'ai pris une grosse claque, ce roman est d'une violence inouïe mais tellement beau aussi. L'histoire est réellement digne d'intérêt et je crois que c'est un roman qu'il faudrait avoir lu (le jeu de mot L'Assommoir, c'est assommant est complètement ridicule, selon moi, il faut juste faire un effort). Aujourd'hui, les classiques sont surtout connus de nom où parce qu'ils ont été adaptés au cinéma et c'est dommage. Lisons les textes originaux, ça ne peut pas faire de mal. 


En Bref :
 
Les + : une histoire naturaliste dans les règles de l'art, des personnages pathétiques parfois mais toujours intéressants...une écriture inimitable. 
Les - : Aucun. 
 
L'Assommoir, Emile Zola






Tags : Emile Zola, XIXème siècle, Classiques, Rougon-Macquart
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