
Tomes :
1. Fantine
2. Cosette
3. L'idylle Rue Plumet
4. L'épopée Rue Saint-Denis
5. Jean Valjean
"Les révolutions sortent, non d'un accident, mais de la nécessité."
Ma note : ★★★★★★★★★★
Mon avis :
Les Misérables sont de merveilleux classiques que j'ai découvert par hasard dans une vieille bibliothèque familiale. C'était une vieille édition de 1947, un peu jaunie et cornée, mais peu importe ! Je me suis plongée dans les pages des quatre volumes et, en quatre semaines, j'avais terminé la lecture de ces livres...Aujourd'hui, Les Misérables sont les romans que je cite en premier à la question : « quel est votre livre préféré ? ».
J'ai aimé beaucoup d'autres romans, j'ai d'ailleurs du mal à départager tous mes coups de coeur, mais ceux-là ont un statut bien particulier pour moi.
L'histoire est émouvante et belle malgré la violence qui reste latente durant toute l'intrigue. On ne peut s'empêcher de compatir pour Fantine, qui tombe dans le plus grand dénuement après que son amant l'ait abandonné, on ne peut que ressentir de l'antipathie pour Javert, mais on se sent finalement proche de lui lorsque la roue tourne et que c'est à son tour de connaître le malheur.
Malgré ses actes condamnables Jean Valjean est un personnage attachant et Cosette également. On se réjouit de la voir, à l'adolescence, s'ouvrir enfin au bonheur dans les bras de Marius.
Les Misérables insèrent également, dans la petite histoire de ses héros, la Grande Histoire : ainsi Thénardier se trouve pris dans la tourmente de Waterloo et Marius dans les barricades de la Révolution de 1832.
Comme les romans de Zola, Les Misérables sont un formidable tableau de la société du début du XIXème siècle, finalement assez proche de nous mais tellement éloignée néanmoins à cause de cette misère et de cet archaïsme qui perdure.
J'ai aimé beaucoup d'autres romans, j'ai d'ailleurs du mal à départager tous mes coups de coeur, mais ceux-là ont un statut bien particulier pour moi.
L'histoire est émouvante et belle malgré la violence qui reste latente durant toute l'intrigue. On ne peut s'empêcher de compatir pour Fantine, qui tombe dans le plus grand dénuement après que son amant l'ait abandonné, on ne peut que ressentir de l'antipathie pour Javert, mais on se sent finalement proche de lui lorsque la roue tourne et que c'est à son tour de connaître le malheur.
Malgré ses actes condamnables Jean Valjean est un personnage attachant et Cosette également. On se réjouit de la voir, à l'adolescence, s'ouvrir enfin au bonheur dans les bras de Marius.
Les Misérables insèrent également, dans la petite histoire de ses héros, la Grande Histoire : ainsi Thénardier se trouve pris dans la tourmente de Waterloo et Marius dans les barricades de la Révolution de 1832.
Comme les romans de Zola, Les Misérables sont un formidable tableau de la société du début du XIXème siècle, finalement assez proche de nous mais tellement éloignée néanmoins à cause de cette misère et de cet archaïsme qui perdure.
En Bref :
Les + : les quatre romans sont des chef-d'oeuvre.
Les - : R.A.S. Une saga romanesque parfaite.


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