Tome 1, Contessina
Corruption, assassinat, pouvoir, passion : tels sont les maîtres mots de l'histoire légendaire de Cosimo de Médicis et de sa descendance. Son histoire est aussi celle de la République de Florence, de son évolution artistique, politique, industrielle et commerciale alors qu'elle dominait l'Europe des XIVe et XVe siècles. Mais, au-delà des intrigues, des alliances et des manipulations politiques, Contessina est l'histoire d'un amour, celui de Cosimo pour Contessina de Bardi, la première de ces femmes hors du commun à avoir joué un rôle essentiel dans le destin des Médicis.
Tome 2, Le Lys de Florence
Les Médicis, après leur exil à Venise, reviennent à Florence dans la liesse populaire. Cosimo, mécène libéral et généreux, est aussi un politicien et un marchand redoutable dont les alliances sont déjà internationales. Il nomme les papes, déjoue les intrigues, décide des mariages, accroît son pouvoir et agit en maître absolu. Face à lui, la jeune Lucrezia, le " lys de Florence ", fille d'un aristocrate allié des Médicis, rêve d'amour, de bonheur et de liberté. Quel peut être le destin d'une femme, jeune, belle, intelligente et cultivée dans une cité en plein essor où le fracas des armes et des alliances politiques couvre celui des c½urs et des idéaux les plus purs ?
Tome 3, Lorenzo ou la Fin des Médicis
Suite et fin de la grande saga des Médicis, dont Contessina et Le Lys de Florence, les deux premiers volumes, ont connu un très grand succès, Lorenzo met à nouveau en scène une Florence plus florissante que jamais, berceau des arts et des lettres, enviée de tous les autres Etats, où se déroulent fêtes somptueuses mais aussi conspirations de clans rivaux attisées par Rome et ses papes dépravés. Lorenzo, " le Magnifique ", en est le chef, l'âme et l'intelligence, mais le destin du plus illustre des Médicis a aussi son versant sombre, fragile et tourmenté: son amour d'enfant puis d'adolescent pour Lucrezia Donati, d'une vieille famille florentine ruinée, qu'il sacrifiera pour raison d'État, le poursuivra toute sa vie et nourrira sa poésie. Sarah Frydman, dans Lorenzo ou la fin des Médicis, retrace avec passion et clairvoyance les derniers feux de cette Renaissance italienne tumultueuse et prolifique ; déjà s'annoncent l'obscurantisme et l'Inquisition avec l'entrée dans Florence du moine Savonarole.
"Dieu nous punit dans ce que nous aimons le plus au monde."
(Contessina, tome 1)
Corruption, assassinat, pouvoir, passion : tels sont les maîtres mots de l'histoire légendaire de Cosimo de Médicis et de sa descendance. Son histoire est aussi celle de la République de Florence, de son évolution artistique, politique, industrielle et commerciale alors qu'elle dominait l'Europe des XIVe et XVe siècles. Mais, au-delà des intrigues, des alliances et des manipulations politiques, Contessina est l'histoire d'un amour, celui de Cosimo pour Contessina de Bardi, la première de ces femmes hors du commun à avoir joué un rôle essentiel dans le destin des Médicis.
Tome 2, Le Lys de Florence
Les Médicis, après leur exil à Venise, reviennent à Florence dans la liesse populaire. Cosimo, mécène libéral et généreux, est aussi un politicien et un marchand redoutable dont les alliances sont déjà internationales. Il nomme les papes, déjoue les intrigues, décide des mariages, accroît son pouvoir et agit en maître absolu. Face à lui, la jeune Lucrezia, le " lys de Florence ", fille d'un aristocrate allié des Médicis, rêve d'amour, de bonheur et de liberté. Quel peut être le destin d'une femme, jeune, belle, intelligente et cultivée dans une cité en plein essor où le fracas des armes et des alliances politiques couvre celui des c½urs et des idéaux les plus purs ?
Tome 3, Lorenzo ou la Fin des Médicis
Suite et fin de la grande saga des Médicis, dont Contessina et Le Lys de Florence, les deux premiers volumes, ont connu un très grand succès, Lorenzo met à nouveau en scène une Florence plus florissante que jamais, berceau des arts et des lettres, enviée de tous les autres Etats, où se déroulent fêtes somptueuses mais aussi conspirations de clans rivaux attisées par Rome et ses papes dépravés. Lorenzo, " le Magnifique ", en est le chef, l'âme et l'intelligence, mais le destin du plus illustre des Médicis a aussi son versant sombre, fragile et tourmenté: son amour d'enfant puis d'adolescent pour Lucrezia Donati, d'une vieille famille florentine ruinée, qu'il sacrifiera pour raison d'État, le poursuivra toute sa vie et nourrira sa poésie. Sarah Frydman, dans Lorenzo ou la fin des Médicis, retrace avec passion et clairvoyance les derniers feux de cette Renaissance italienne tumultueuse et prolifique ; déjà s'annoncent l'obscurantisme et l'Inquisition avec l'entrée dans Florence du moine Savonarole.
"Dieu nous punit dans ce que nous aimons le plus au monde."
(Contessina, tome 1)
Ma note : ★★★★★★★★★★
Mon avis :
Je ne donne que six étoiles à cette trilogie. C'est peut-être un jugement un peu sévère mais j'avoue ne pas avoir forcément accroché en la lisant. Il faudrait peut-être que je relise, mais c'est vrai que, en me basant sur ma première impression, ma première lecture, je dirais que cette saga, bien que très bien écrite, ne m'a pas forcément transportée.
J'ai trouvé l'histoire assez digne d'intérêt...Nous sommes au XVème siècle, la Renaissance, en Italie, en est à ses balbutiements tandis que partout ailleurs en Europe, c'est encore le Moyen Âge...A la même époque, par exemple, la Guerre de Cent Ans fait encore rage entre la France et l'Angleterre. L'Italie est, lui, un pays à part, un pays raffiné où les grandes familles, détentrices des villes-états qui forment la péninsule, mènent le jeu des alliances. J'ai beaucoup aimé cet aspect-là des livres mais ce que je reprocherais à cette saga, peut-être, c'est d'être un peu trop froide. Certes, elle nous montre bien le contexte de l'époque, les violences et les coups-bas qui peuvent survenir entre toutes ces puissantes familles mais l'intrigue est peut-être un peu trop lisse. On ne s'attache pas aux personnages, on a l'impression qu'ils virevoltent tous dans un ballet devant nos yeux mais aucun ne nous accroche réellement. C'est une succession de personnages et de fait...il manque la petite flamme qui aurait fait de cette saga...une très bonne saga historique, bien documentée et intéressante. C'est un peu dommage.
Cela dit, je ne la déconseille pas du tout...certes, ça n'a pas pris avec moi, mais cela ne signifie pas pour autant qu'il en sera de même pour tous. Je crois que La Saga des Médicis est tout à fait digne d'intérêt et si vous avez l'occasion, lisez-la. Peut-être aimerez-vous ?
J'ai trouvé l'histoire assez digne d'intérêt...Nous sommes au XVème siècle, la Renaissance, en Italie, en est à ses balbutiements tandis que partout ailleurs en Europe, c'est encore le Moyen Âge...A la même époque, par exemple, la Guerre de Cent Ans fait encore rage entre la France et l'Angleterre. L'Italie est, lui, un pays à part, un pays raffiné où les grandes familles, détentrices des villes-états qui forment la péninsule, mènent le jeu des alliances. J'ai beaucoup aimé cet aspect-là des livres mais ce que je reprocherais à cette saga, peut-être, c'est d'être un peu trop froide. Certes, elle nous montre bien le contexte de l'époque, les violences et les coups-bas qui peuvent survenir entre toutes ces puissantes familles mais l'intrigue est peut-être un peu trop lisse. On ne s'attache pas aux personnages, on a l'impression qu'ils virevoltent tous dans un ballet devant nos yeux mais aucun ne nous accroche réellement. C'est une succession de personnages et de fait...il manque la petite flamme qui aurait fait de cette saga...une très bonne saga historique, bien documentée et intéressante. C'est un peu dommage.
Cela dit, je ne la déconseille pas du tout...certes, ça n'a pas pris avec moi, mais cela ne signifie pas pour autant qu'il en sera de même pour tous. Je crois que La Saga des Médicis est tout à fait digne d'intérêt et si vous avez l'occasion, lisez-la. Peut-être aimerez-vous ?
En Bref :
Les + : un contexte historique vraiment bien traité et digne d'intérêt. Un tourbillon de senteurs et de paysages inconnus composent cette trilogie sur les débuts de la Renaissance en Italie et plus précisément, à Florence, la ville des Médicis
Les - : l'auteure instaure peut-être un peu trop de distance entre le lecteur et les personnages, ce qui dommage.
Les - : l'auteure instaure peut-être un peu trop de distance entre le lecteur et les personnages, ce qui dommage.
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